Question 1. Le médecin doit-il avoir recours à une procédure collégiale pour prendre des décisions dans les situations suivantes ?Cochez la ou les bonnes réponses 1. Lorsque la personne en fin de vie est hors d’état d’exprimer sa volonté et qu’il envisage de limiter ou d’arrêter un traitement dans le cadre du refus de l’obstination déraisonnable 2. Lorsqu’il envisage de refuser d’appliquer des directives anticipées qu’il considère manifestement inappropriées ou non conformes à la situation médicale 3. Lorsqu’il envisage de mettre en œuvre une sédation profonde et continue jusqu’au décès associée à une analgésie 4. Lorsqu’il envisage de mettre en œuvre une sédation transitoire ou continue pour une situation clinique de détresse : symptôme réfractaire, anticipation de situation aigue à risque vital immédiat (hémorragie cataclysmique, asphyxie aigue…). Question 2. Une sédation profonde continue jusqu’au décès est autorisée par la loi du 2 février 2016 dans les conditions suivantes :*Cochez la ou les bonnes réponses 1. Quand le patient le demande et présente une souffrance réfractaire 2. Si le patient présente une maladie grave évolutive et que le pronostic vital est engagé à court terme 3. Si la famille le demande 4. Si le médecin en charge du patient estime qu’aucun traitement à visée curative n’est plus possible Question 3. Définition de la procédure collégiale*Cochez la ou les bonnes réponses 1. La procédure collégiale est une réunion de concertation à l’issue de laquelle le médecin prend sa décision. 2. La procédure collégiale est une réunion à l’issue de laquelle un consensus doit être trouvé concernant la décision à prendre. 3. La procédure collégiale prend la forme d’une concertation avec les membres présents de l’équipe de soins, si elle existe 4. La procédure collégiale recueille de l’avis motivé d’au moins un médecin, appelé en qualité de consultant. Question 4. Objectifs de la procédure collégiale : Lorsque la personne en fin de vie est hors d’état d’exprimer sa volonté et que le médecin envisage de limiter ou d’arrêter un traitement dans le cadre du refus de l’obstination déraisonnable, la procédure collégiale a pour objectif d’examiner la situation au regard des critères suivants :*Cochez la ou les bonnes réponses 1. Les traitements et les soins apparaissent inutiles 2. La procédure collégiale est une réunion à l’issue de laquelle un consensus doit être trouvé concernant la décision à prendre. 3. La procédure collégiale prend la forme d’une concertation avec les membres présents de l’équipe de soins, si elle existe 4. La procédure collégiale recueille de l’avis motivé d’au moins un médecin, appelé en qualité de consultant. Question 5. Lorsque la procédure porte sur la décision de sédation profonde et continue jusqu’au décès, la procédure collégiale recherche les critères suivant prévus par la loi et les recommandations professionnelles :*Cochez la ou les bonnes réponses 1. Le patient est atteint d’une affection grave et incurable 2. Le pronostic vital est engagé à court terme du fait de l’évolution de la maladie 3. Le pronostic vital est engagé à court terme du fait de la décision du patient d’arrêter un traitement. 4. Le patient présente une souffrance réfractaire 5. Le patient demande une sédation profonde continue jusqu’au décès. Question 6. La procédure collégiale établit la volonté du patient, qui n’est pas en capacité d’exprimer sa volonté lors des limitations ou arrêt de traitement, en consultant dans l’ordre suivant :*Cochez la ou les bonnes réponses 1. Les directives anticipées si elles existent 2. ou à défaut, celui de la famille 3. ou à défaut le témoignage de la personne de confiance 4. ou à défaut celui d’un proche Question 7. Les directives anticipées sont rédigées par le patient pour indiquer sa volonté sur les décisions médicales relatives à sa fin de vie :*Cochez la ou les bonnes réponses 1. Cela concerne les conditions de la poursuite, de la limitation, de l’arrêt de traitements ou d’actes médicaux dans le cas où il ne serait plus en capacité de s’exprimer. 2. Cela concerne le refus de l’arrêt de traitements ou d’actes médicaux dans le cas où il ne serait plus en capacité de s’exprimer. 3. Cela concerne son souhait de bénéficier d’une sédation profonde continue jusqu’au décès. 4. Cela consiste en un document écrit, daté et signé par leur auteur, majeur, dûment identifié par l’indication de ses nom, prénom, date et lieu de naissance 5. La personne majeure sous tutelle peut rédiger des directives anticipées avec l’autorisation du juge ou du conseil de famille s’il a été constitué. 6. Les directives anticipées doivent être écrite selon le modèle donné par la HAS. Question 8. Les directives anticipées mentionnées à l’article L. 1111-11 :*Cochez la ou les bonnes réponses 1. Sont valables 3 ans. 2. Sont valables sans limitation de durée. 3. Peuvent être révoquées à tout moment 4. Peuvent être révisées à tout moment. 5. En présence de plusieurs écrits, le document le plus récent l’emporte. Question 9. Lorsque le patient est hors d’état d’exprimer sa volonté, le médecin en charge du patient :*Cochez la ou les bonnes réponses 1. Est tenu de respecter la volonté exprimée par celui-ci dans des directives anticipées. 2. Peut décider de ne pas les appliquer en cas d’urgence vitale pendant le temps nécessaire à l’évaluation complète de la situation médicale. 3. Peut refuser de les appliquer s’il juge les directives anticipées manifestement inappropriées ou non conformes à la situation médicale. 4. La décision de ne pas appliquer les DA est prise à l’issue d’une procédure collégiale. PhoneCe champ n’est utilisé qu’à des fins de validation et devrait rester inchangé.